Le dernier continent
De Terry Prtachett, aux éditions L'Atalante, 1998
Le vingt-deuxième livre des Annales du Disque-monde du délirant Terry Pratchett, nous entraine vers sur des terres qui ressemblent, à s’y méprendre, à l’Australie. On y retrouve à la sauce Pratchett : Mad Max, Priscilla folle du désert, Crocodile Dundee, animaux étranges et autres rites aborigènes.
L’histoire commence par le road trip du magicien Rincevent, désigné par les dieux pour sauver ce continent qui va mourir de soif. Est-ce vraiment une bonne idée de fonder tous les espoirs sur ce mage dont le seul talent est de savoir s’enfuir ?
Dans la lignée des romans de Pratchett, il faut suivre les dialogues et s’imaginer les actions, dans une narration qui est extrêmement cinématographique. Le pouvoir de Pratchett est immense, il ajoute des tas d’ingrédients sans liens entre eux, il les mélange de façon burlesque, et il en résulte un livre extraordinaire.