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📙 [Chronique] Asutra ! (Chroniques de Durdane)

De Jack Vance, aux éditions Pocket, 1979

Science-fiction


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Je ne vais pas être très long sur la chronique de cet ouvrage, car même si je suis un fan inconditionnel de Jack Vance, la lecture a été plutôt ennuyeuse. En effet, ce troisième tome fait suite et fin des aventures de d’Etzwane. On en sait un peu plus sur les diables rouges ou Roguskhoïs mais les explications sont poussives et peu convaincantes. Un roman qui me laisse sur ma faim.


Désormais Etzwane n’a plus de responsabilité sur le continent du Shant. Pourtant, des rumeurs venant d’un continent du sud, rapportent que les Roguskhoïs n’ont pas complètement disparus de la planète et terrorisent les populations. Avec l’aide d’Ifness, l’historien terrien, il décide d’en savoir un peu plus afin de rendre la tranquillité à la planète Durdane.


Ainsi se termine cette saga, qui ne va rester dans mes souvenirs comme Cugel, la geste des Princes-Démons, ou le cycle de Lyonesse. Pourtant, il y a des moments très intéressants mais perdus dans une mer d’ennuis. Heureusement, il me reste d’autres ouvrages de Jack Vance à découvrir pour mon plus grand bonheur.


Connaissez-vous Jack Vance ?


Début du livre « Les Roguskhoïs et leurs dominants, les asutras, avaient été chassés du Shant. Assaillis constamment au sol par les Vaillants Hommes Libres, harcelés d’en haut par les Pilotes de Shant, les Roguskhoïs avaient battu en retraite dans la direction du sud, traversant le Grand Marécage pour rentrer au Palasedra. »


Extrait « De Shagfe, le trio partit en direction de l’ouest à travers la Terre Stérile, une plaine alcaline qui s’étendait à perte de vue. La surface en était une croûte dure d’une blancheur d’ivoire, poudrée d’une poussière douce et âcre. Cette plaine désolée était parcourue par une douzaine de vents-démons, qui avançaient et reculaient comme de danseurs de pavane, allant jusqu’à l’horizon et revenant, certains hauts et majestueux dans le ciel éclatant, d’autres à ras le sol, trottinant sans dignité et finissant par se dissiper en bouffées et tourbillons erratiques. »

Extrait « Il descendit à la salle commune, pour trouver Frolitz en conversation avec Fontenay. Frolitz se leva d’un bond et étreignit Etzwane. « Eh bien, mon garçon ! Il y a des mois que je ne vous ai vu et j’apprends que vous avez vécu une aventure picaresque ! Vous avez toujours été porté aux marottes et donquichotteries ! Mais maintenant vous voilà et avec l’air – comment dirais-je ? – plein d’étrange science. Quelle musique avez-vous jouée ? »

Etzwane rit. « J’ai commencé à apprendre une Grande Geste de quatorze mille chants mais n’en ai assimilé à fond qu’une vingtaine. » »

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